1. |
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2. |
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Stentor:
Dans la nostalgie du paradis perdu dès l'enfance
en partie tu t'enfonces c'est ce qu'une France quelque part a dit.
Si l'insolence des armes t'enlève un bout d'chair
C'n'est pas un drame au fond, c'est juste que rêver coûte cher.
A nourrir des rêve c'est la réalité qu'on affame,
Sais-tu pourquoi le flambeau que tu portes te brûle de ses flammes ?
Le sang des tiens s'élève et crie de milles rages,
au creuset d'une espérance qui ne tient qu'aux mirages
Aux images qu'on te renvoie, mais quel effort fais-tu ?
Dès le fœtus tu fais des sans-voix, en proie aux forfaitures.
Peuple maudit, architecte de ta propre chute !
A voir la fuite d'tes intellects de mes lèvres chaque opprobre jute.
Aux fausses théologies tes fils sont à la merci
pendant que les idéologies fabriquent des Messies.
Et toi tu ries quand l'OTAN vient déterrer le remord,
mémoire profanée des tiens qui veulent enterrer leurs morts.
Faute de chants de liesses, j'porte un cierge aux chandeliers
pour toi que l'on assiège voici des vers que chante lié.
Pour que le sourd voie et que l'aveugle retienne,
tout ce qui fourvoie ce peuple de requiem
Refrain:
Peuple des crimes, peuple d'espoir,
Peuple d'estime, peuple de victimes, peuple de l'Histoire.
Peuple Noir, peuple de servitude,
Peuple noyé dans le moi et les émois de ses incertitudes
Peuple d'espérance et de gloire.
Peuple de l'ignorance, de l'errance, peuple de croix.
Toi qui dit: Heureux qui souffre, heureux qui aime
Tu n'es qu'un sous-peuple de requiem
THK/
De quel sordide espoir, encore alimenter la flamme
Chauffant le lac vermeil te coulant jusqu'au myocarde
Ô peuple en qui le soir a déteint sur le corps et l'âme
Quels monts quelles merveilles pour toi crois tu que les dieux garde
L'histoire ne t'aura donc point appris
Après les chaines et les colons, crois-tu vraiment avoir payé le prix ?
Des larmes taries sur tes joues osseuses
Aux grandes balafres que toutes misères creusent
S'il n'en fuse que pus puant, mélange de tant d'atrocités
Qui donc te voyant suppliant aura à cœur de te prendre en pitié
Saches que toute engeance, ne baigne que dans la fange qu'elle se destine
Depuis sa tendre enfance ; tout dessein se décide à l'origine
Eh oui peuple d'ébène, à la sueur de tes prières aucune faute se répare
Qui à jamais croit et espère sous de friables remparts ?
Alors peuple de mes pères, peuple d'ébène, peuple de haine, peuple de requiem
De quel sordide espoir, encore alimenter la flamme
Chauffant le lac vermeil te coulant jusqu'au myocarde
Ô peuple en qui le soir a déteint sur le corps et l'âme
Quels monts quelles merveilles pour toi crois tu que les dieux garde
Chorus x2
Peuple des crimes, peuple d'espoir,
peuple d'estime, peuple de victimes, peuple de l'Histoire.
Peuple Noir, peuple de servitude,
peuple noyé dans le moi et les émois de ses incertitudes.
Peuple d'espérance et de gloire,
peuple de l'ignorance, de l'errance, peuple de croix
toi qui dit heureux qui souffre, heureux qui aime
tu n'es qu'un sous-peuple de requiem
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3. |
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Refrain
Tirez-vous ou priez tous pour éviter les douilles
Brise les bouches oubliez tous f'sons léviter les foules
Prends gardes au leust, et puis t'as pris des coups
On file en douce comme des marauders
Stentor:
Plus pathétique tu meurs, ce monde de dupes me gâte l'éthique,
j'appliques mes mœurs quand les rumeurs sont d'humeur athlétique.
Tumeur atypique qui ronge ceux qui colportent, ne cognent aux bonnes portes,
ne supportent ceux qui dans l'rap d'équipe demeurent
Marre de toutes sortes de tours,
J'traque le 3ième chant du coq jusqu'à ce que le doute sorte des tours.
Indexe l'ingratitude, enchaine les mystères
envoie des textes de magnitude comptée hors de l'échelle de Richter.
A 13 kilomètre à la ronde,
j'compte les pyramides éborgnée pour une tess qui nous mettra la honte
Salarier des tombes qu'est-ce qu'on gagne ?
Tout cela n'a rien des temps beaux et c'pays n'est pas un vaste Cocagne.
La rage dans l'sang comme pierre angulaire,
mon bon sens fait monter l'encens d'mes prières rancunières.
Au service de l'ensemble et sans trop d'euphémismes,
j'encense le mythe et disperse les cendres du Phoenix
On crée la confusion, plus fanatique du fou que du roi !
Chaque effusion m'rapproche du titre que du flou que tu crois,
J'porte ma croix, mes potes, ma courroie de transmission
dans ce risque aux portes de la gloire.
Maraudeurs aucune fois pour remplir un cœur si vide,
Je ne mourrais qu'une fois, donc j'm'en fous j'empile des guerres civiles.
Redresse les tords, espère tordre les chaînes illégales
On restaure le génie: Stentor et James Lega !
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4. |
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Couplet 1
Parce que nos méprises ont plus de valeurs à nos yeux
que tous ceux que l'on épuise sous l'emprise de nos droits nauséeux.
les murs qui nous séparent sont plus qu'celui de Berlin,
cherchons plus loin que les écarts de Brice et Guerlain.
Nos regards suffisent à repousser à juger,
opposer nos sujets, à purger un mal d'idées reçues,
Généralement issues de nos inculture, fièrs.
Que celui qui n'a jamais pécher lance la premier pierre !
Des barrières de religion aux arrière pensées qui feraient légion
A balles réelles on s'tire ces manières, ce qui effraie les gens.
En fait, l'autre, si différents, si étrange,
étranger à codes et tranches de vie, taux si étanche
Un danger, que l'on ne connait pourtant pas assez,
mais qu'on enferme dans les rang et stéréotype du passé.
Aveugles, à force de jouer sur les superlatifs,
en termes de races, voués aux frasques des super-natifs.
Cloués, aux bois de toutes nos suffisances,
Nos alternatives floués fourvoient aux doutes nos différences.
Où coups et frustrations ne trouvent leur écho
que dans l'honneur inavoué d'l'insatisfaction de notre égo.
Les encres n'auront pas autant que toutes ces larmes
qui sèchent dans l'âme que sais-je encore de tous ces drames
Moi, j'vois plus loin que tout ce monde désunis et m'autorise un rêve, celui de voir réunis...
Refrain:
Un seule Race, plusieurs peuples
Il t'semblera qu'nous sommes peu nombreux à formuler le vœu, l'audace d'une seule masse.
Par les flammes, par les pleures nos idées passeront.
L'histoire de notre métissage de cœur ne poussa pas se rompre
Un seul Peuple, une seule Race, une seule Trace,
l'amour de nos différences une seule Masse
Au nom de ceux qui veulent y croire, encore et encore,
Voici notre croix pour un seul Corps.
Couplet 2:
Si l'dernier des naïfs se surprend à rêver d'un autre monde,
c'est qu'avec un peu d'amour on arrive à s'aimer autrement.
A voir ces crimes, pertes ou paramètres saches,
on a plus à gagner qu'à perdre par le métissage.
Une page dont on peine à relever le défi,
se méfie, parce qu'elle mène à fédérer nos déviances,
disent nos pensées, leurrées les dés au fil du temps
une chance qui ne cesse d'accélérer, ne dévie
De ce que les cultures les autres et les unes firent,
on a tous une histoire mais un futur qui nous unifie.
A bas nos tour d'voire et milliers de Babel,
Que parle l'amour d'une Voix pour lier les pas rebels.
La part belle, ceux qui l'emportent ils n'écoutent pas,
la voix de ces mirgrants qui rapportent bien plus qu'ils ne coûtent..
Par les mots on construit et détruit,
J'parle des maux qui minent ce monde et autrui.
Finis les p'tites combines à Gobinot frère
Il nous incombe cet avenir, qui donc voudrait écoper d'nos frais ?
Moi, j'vois plus loin que tout ce monde désunis et m'autorise un rêve, celui de voir réunis...
Refrain:
Un seule Race, plusieurs peuples
Il t'semblera qu'nous sommes peu nombreux à formuler le vœu, l'audace d'une seule masse.
Par les flammes, par les pleures nos idées passeront.
L'histoire de notre métissage de cœur ne poussa pas se rompre
Un seul Peuple, une seule Race, une seule Trace,
l'amour de nos différences une seule Masse
Au nom de ceux qui veulent y croire, encore et encore,
Voici notre croix pour un seul Corps.
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5. |
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Couplet 1 Stentor
J'aurai été d'un autre monde, j'parie qu'j'envierai celui-ci,
mourir à chaque secondes pour paraître en vie, est-ce lucide ?
Qu'est-ce que cette vie de crève donnera en temps réel
dans c'vide où les rêves licites ne sont pas de rares denrées ?
Les rangs serrés, j'dessert et sert les dents
tant ces rances séries d'errances règnent, devant ces rides, que faire ? où cerner le temps ?
J'plonge dans une mer de souhaits qui ne garde rien pour elle,
mon fouet, mes cartes toutes flouées qu'mon regard tient pour réel.
La vie est belle, mais ce soleil brille pour qui ?
Engagé dans cette course de relai, ai-je pris le poul requis ?
J'cours, battant, mes craintes à chaque escapades j'arme.
La belle attend, c'est fou, mais le prince n'a pas de charme.
Y'a que les malheurs qui n'préviennent pas, ces lâches adversaires.
J'm'inquiète pas, l'avenir est quelques part, c'est là qu'j'y vais.
Et j'sers au plus fort dans mes bras, le peu que j'ai, c'qu'on a.
Tendant la main au sort qui m'aidera, en attendant...
Refrain:(x2)
J'porte ma vie de rêve intime un fardeau
j'm'évade dans les vapes, de mon film, un phare.
Tôt ou tard je verrai mes heures de gloire m'attendre,
dans l'couloir,une perche se tendre, en attendant...
Couplet 2 Hunam
En attendant, on s'invente des plans d'carrière réussies,
tu penses palper des dividendes, tes dirigeants pensent à fermer l'usine /
on s'calme ... on attend d'faire une crise,
j'percerai ni dans la danse ni dans la soupe donc j'doute qu'un agent m'soit très utile /
j'crois pas en dieu, mais on s'arrange on est talentueux,
entre vacances et taff, j'pense qu'il faut couper la poire en deux /
malheureusement j'suis un des pires flemmards que cette terre porte,
j'crois en la chance, j'attends que cette pétasse me téléphone /
et j'me fais plaisir comme je peux,
parce qu'apparemment y a pas qu'l'argent et l'afghan qui peuvent rendre un homme heureux /
l'estime des nôtres m'apporte ce que je n'aurai pas dans ma gamelle ,
respirer m'donne de la force, même si tout ça n'en vaut pas la peine /
j'serai curieux d'savoir qui saisira la perche tendue _
j'dis pas ça pour les sistas qui ont pas d'mec en vue /
on s'rapproche de l'objectif initial, on reste original et on évolue.
homie j'crois qu'ya que ça dont je suis vraiment sur
Refrain:(x2)
J'porte ma vie de rêve intime un fardeau
j'm'évade dans les vapes, de mon film, un phare.
Tôt ou tard je verrai mes heures de gloire m'attendre,
dans l'couloir,une perche se tendre, en attendant...
Stentor
Prière sur prière,
la rage au ventre, un ciel infertile,
le vertige, mon âme dois-je la vendre, oser en faire un deal
m'y faire ? Ou dire, à ces cendres quand reverdir ?
l'enfer attire et j'ai un temps à bâtir, pierre sur pierre.
Sans doute cette torture n'est pas de tout repos.
La roue tourne mais celle de la torture autour du pot
5/5, c'qu'il y a d'important j'guette à ma porte le temps d'une scène succincte
Hunam
Alors personnalisons l'décor
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6. |
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Eh yo Stent, j'sais pas si tu m'écoute, mais si t'es là
vas y décroches coûte que coûte, bien qu't'hésites hélas !
Hier soir j'ai voulu croire en toutes tes panoplies
de résolutions mais ton pardon ne connait pas l'oubli.
Tu m'diras pas qu'un verre de trop réveille les franchises,
Ok t'as voulu faire le drôle mais là le pas est franchi.
On aurait pu en parler t'es dans l'impasse vieux,
Cacher à Rose que tu l'a trompe avec sa co' n'est pas sérieux
Je vois qu'tu t'fous pas mal de tout c'qu'elle peut ressentir,
l'humiliation ou l'sentiment d'être malheureuse sans l'dire.
Mais réalise, de toute il n'y a au demeurant qu'une,
même si deux ans n'ont pas suffit à les rancunes.
Les rancunes, et là faut vraiment voir lesquelles,
Tu t'fais des films sur ses potes et pense être bien moins foireux qu'elle.
Elle, à chaque fois qu'tu lui ponds des histoires qui l'accablent,
Sais-tu c'qu'elle pense des jupes après lesquels tu cours et qu'tu rattrape.
Bien sûr que non, ton orgueil t'es le plus cher,
c'est pourquoi l'humilier n't'a pas gêner depuis hier.
Lâche ! profiter de l'alcool pour intimider ?
Mais plutôt sage est de laver son linge dans l'intimité.
J'pt'être mal placé pour t'parler sur ce ton,
mais je préfère vous voir prendre un nouveau départ et sursautant
de joie, pour tout ce temps tu vois, faudrait expulser
ces refoulées, c'que t'as à faire c'est de t'excuser...
Refrain:
Il ne m'est pas si facile, d'affronter ces morceaux de miroirs
affronter ces morsures, affronts et remords sûrs me forcent de m'y voir
Il ne m'est pas si facile, d'affronter ces morceaux de miroirs
Comprends qu'c'est impossible, au fond j'serais pour si, j'pouvais ne pas m'y voir
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7. |
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Stentor:
Toujours intègre, même quand nos disc-compact ont pignon sur rue
Quand opulence et ruses sur nos combats et opinions se ruent.
J'te parle de sujets grugés, j'ai crus, j'ai épluché subterfuges
Une purge de ce qu'en bas nous n'comprenions c'est rude !
Je cris ces pages écrites en lettres de sang, les descend
bah ouais j'parie qu'j'vais vous paraitre indécent.
ça fait pas rire, alors ma rime traduit le malêtre en mes sens
J'ai pas envie de vous donner le mythe d'un fourbe en incandescences.
Pris dans le cycle où tant de ziques évoluent en dent se scie,
il est temps de mettre, mon dévolu jeté sur tant de si.
A entendre si peu de HipHop aigre qui se dissipe,
j'décide d'rester intègre même si j'en reste le seul disciple.
Prisonnier de ma bulle ? Non plutôt de mes libertés,
j'suis pas des pantins qu'on manipule, j'ai trop de fierté.
De ce à quoi on n'a plus accès, dont on ne parle plus,
j'vais crever l'abcès et ça tu l'verra par le pus.
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8. |
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Stentor:
Check ! J'balance un texte pour l'alunissage,
une marque, une empreinte un test, la lune, le contexte à ceux qui ont pas vu l'message.
Dans l'paysage une autre fresque, une aube, un crépuscule.
[Ce petit pas d'géant] où nos réflexes innovent, vaudraient plus qu'une
honorificaion. un grade. On creuse nos cratères.
Nos crânes décrètent c'que Socrate et Zénon grattèrent.
[crade] mon critérium décrit c'qu'est l'homme dans cette ingrate ère,
Détruit les critères et les normes d'un pas pas, c'est pour les fraters
Refrain
On a marché sur la lune, planté l'Etandard,
marché sur la lune, démantélé tant d'arts
Démente est l'étendue, c'est courant que les dés mentent
Ce thème est tendu, bien ententu, j'te laisse une fin clémente
n a marché sur la lune, planté l'Etandard,
marché sur la lune, démantélé tant d'arts
Un p'tit pas pour l'humanité, mais pas en musicalité.
Nos qualités redorent le mic' dans son intégralité.
Stentor (verse 2):
Si j'pose ce pas c'est pour mes astronautes,
nés sous des astres où notre ciel n'offre pas d'paradis mais tant d'désastres.
Caste noble, lyrics en guise de sentinelle,
On trace notre sillon à risque avec ou sans tunnels.
Un p'tit pas pour l'industrie,
Parce que nos écritures opaques de facto leurs pactes indus strient.
Ressens l'impact, on lutte contre les temps
et fossilise nos pas sous X avec la lune entre les dents
Stentor (Verse 3)
Par les ficelles on officie en les tirant,
Nos dires ficelés ne visent que vice attirant.
Textes from space, Stent' Dozz en express
Derniers spécimens en pleine extinction de l'espèce.
Stentor (Verse 4)
Avide j'me décide et râle le poids d'nos récits considérables
Incite râles le bol, dans c'vide intersidéral.
Pôle de rythmiques fabriques de comètes,
J'arbore mon éthique pour que des crimes ma clique ne commète
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9. |
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Stentor (verse 1)
T'as entendu des bombes, vu des morts et des corps mais ce n'était rien
Quoi de plus immonde comme décors si ce n'est terrien
A part des mots et des mots qu'on n'peut plus citer,
je n'vois que des maux oui en manque de publicité.
Si peu friands à formuler des excuses,
ces truands forts obnubilés par l'or nous excluent.
Dès lors, hommages aux âmes qui de ce drame ont rayonné;
auréolés de larmes oui celles-là de qui on rit au nez.
Refrain:
Silence coupable,
Mutisme par mimétisme,
conformisme, moutons par automatisme
Silence couple
Les mutins sont matés
Les mass-médias ne passent qu'une justice mutée
Silence coupable,
Mutisme par mimétisme,
conformisme, moutons par automatisme
Silence couple
Les mutins sont matés
Les mass-médias ne passent qu'une justice frelatée.
Stentor (verse 2):
On parle de honte, de crimes sans cesse dans les médias,
Tout compte me demande pas c'qui prime dans l'immédiat.
Au mépris des révolte, cri des peuples, cris du sang versé
Salariers des répressions aveugles et d'hymnes inversés
Un silence coupable de tout mais témoin de rien
Une sorte de bien pour un mal mais un mal qui n'a rien de bien
Allez ! On n'pleure plus nos morts c'est bien qui m'navre
Ce havre de paix et de remords n'est vallée de cadavres
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10. |
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Refrainx2:
Comment se combat, une armée qui ne se compte pas ?
comprends qu'ici bas, c'est d'en haut que vient la stonba !
Ne compte pas sur le compas pour trouver les pages arrachées
Nos phases lâchées sur leur Face cachée.
Stentor:
Ey to 17.08.1.9.6.0
des héros de la Nation dit-on ont libérés leur fils,
des êtres qui ont légiféré leurres, vices
du temps des colonies, bien qu'on le nie ces hommes ont-il serré leur vice ?
G.A.B.O.N dans l'cyclone des convoitises;
Terreau d'ébène prit dans des contrats qu'convois tissent.
Eden aux romances affreuses qu'on dit PDGistes,
au nom d'la France généreuse et non de celle gaulliste et vichiste.
Du monopartisme aux démocraties parodiques,
une famille de père en fils en pleine autarcie l'Barreau dicte.
Les urnes comme menottées, K.O.
Notez qu'une communauté internationale quelque part audite
des élections montées, truquées de toutes pièces,
avec la bénédiction de l'UMP et sans doute le PS.
Vivent les réseaux Foccart aux gants de Bourgi,
quand sous les Champs la France-Afrique souffle 50 bougies
,
en toute impunités, d'arrêts publiques et mal être
brisant notre unité au nom d'la République des malettes
C'est pas net, un président qui à l'évidence, sur la gestion dl'a finance
hum...parait pudique aux manettes.
Mais vois-tu la télé nous gave de storytelling,
s'attelle à marteler nos têtes pour calmer listes d'horribles délits.
Proclame un historique, infâme que la masse nique
Et noie toute une jeunesse à rejoindre les flammes des ordres maçonniques
Opposants éparpillés, corrompus par les billets
comment veux-tu qu'on parle d'un libéralisme économique de papier.
Lassé de brefs capitaines ?
Demande à Eva Joly ce qu'est devenu l'affaire Elf-Aquitaine.
Nos chefs acquittés car ils ne volerait,
ni un œuf, ni un bœuf, selon l'œuvre de Bouygues et Bolloré.
Que puis-je te dire à part que quelqu'un d'autre sait,
toutes ces manigances orchestrées par le Quai-d'Orssay.
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11. |
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Les chutes ne manquent pas, comme ceux qui me rient au nez,
Ces tourments m'parlent et monte une pâle envie de rayonner.
Au quart de tour, j'retourne mes carte, tout s'écarte par mégarde,
J'pète un câble quand j'regarde autour.
Mon tour, une enveloppe dans ma boîte aux lettre ?
Je suis black et certains jours j'te jure me fond sentir le poids de l'être.
Comme une impression d'passer à coté de tout mais,
J'passe outre la pression d'ces tas de doute.
L'avenir au coude à coude on perd nos gueule de saints.
J'pensais m'être construit des routes en fait j'n'en ai que l'déssin.
De ci à ça toujours en déçà des si,
J'me déssine l'irréalisable et m'fout de l'orgeuil des uns.
Ouais, tous ces efforts nuls que j'ai mis
entre addiction au Rap et formules de chimie
me font gémir mais m'ont fait changer de cap
ouais c'est maintenant qu'je le capte et me forme plus que jamais.
J'avance avec ceux qui me poussent, me retiennent,
ceux qui me boostent et ceux qui en douce meurent et tiennent.
Quelque soit sa forme je saisirais ma chance,
j't'informe, saches que rien n'est perdu d'avance.
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12. |
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Force aux hommes qui portent les âmes, en font des armes
Honnis soient qui mal y pensent, le mal ils pansent en fond des harmonies.
Mes amis ne confondent maléfiques et bon césames ni
l'infamie de la famille que les avides incessamment nient.
Mais ça m'irrite qu'on porte si peu d'attention tranchée,
sur les dangers qui plongent les jeunes dans de notions étranges.
Tu sais, d'où viennent les maux qui minent nos minots sans défenses
je parles des milliers conséquences qui des innocents défoncent
Tu sais, je vois des djinns faires de contre-sacrifices,
pour que s'éreinte ma vertu, la perdre et consacrer vice.
Chose impossible ! J' ai pris ma voie, notre HipHop holocauste
aux proses prises pour cible fautes de p'tits propos low cost
(Chut !) Je suppose mes sujets proscrits,
Mother**** c'est que des projets mais jugés trop stricts
Il veulent nous voir diminués, muer, nous donner parts, rôles
Comment veux-tu qu'un muet soit un homme de parole ?
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13. |
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Stentor:
Héritier de la poussière et cendres de mes aînés,
Mes sens déchaînés se centrent sur les scènes et,
l'essence du gène qui attise mes vers,
une florescence de scènes que ratissent les frères.
Aux connaissances qui gênent quitte à briser des fers,
espérance brisée, à quel prix se défaire ?
En transe mû par ce qui m'érige les ners
C'est des stances originaires de pensées visionnaires intenses qui me régénèrent.
Conscient d'être engagé dans une poursuite à l'éolienne,
mes léo allient leurs idées au fléau sans s'mêler aux hyènes.
Alimentés pour une énième idée au très au ralliement,
ces râles immenses de rap de ma stéréo viennent.
Tiennent-ils ou valent-ils la coup d'être énoncés,
nos élans silencieux se lancent enlisés sans y renoncer.
Encense tous nos défis et s'foutent de c'qu'il en restera,
Nos vertu restaurer vu qu'il n'en reste qu'une modeste aura.
De l'Est j'emprunte un rayon pour tous mes cardinaux
Sans garde innove, j'peste, grille ma carte, à chaque écart dis NON !
Regarde nous égratigner nos carnet jusqu'au catilage,
incarner tous garde-fous qu'mes gars dans tous les quartiers lâchent.
Tu croirais que l'on gagne une part de sous pour être dévoués autant ?
C'est juste une part du temps qu'on voudraient qu'on voudraient déjouer.
Et si on bosse sans relâche et qu'on n'peut pas s'limiter al,
c'est qu'on est mus par la force d'un idéal...
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14. |
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Refrain x2:
Réveilles-toi d'ce maléfice ma Rebelle,
Même quand de milliers de sacrifices te martèlent,
Relèves-toi en édifice immortel,
Ô ma Rebelle, Ô ma Rebelle, Ô ma Rebelle, Ô ma Rebelle
Stentor( verse 1)
Toi fille des reines et des rois, sublime Princesse trônes,
Croîs, brilles et règne sur les lois d'tes rites ancestraux.
Toi, Fille aînée ou vie de tes entrailles,
A quand le Soleil de minuit qui trahira le bruit de tes entailles.
N'entends-tu pas les cris des tiens, oui tous ces mâles et fils
livrés sous les liens de tes yeux enivrés de maléfices.
Eux qui dorment, à attendre sous l'orme,
Prince qui vaille au prix d'quarante décennies d'mort de milliers d'hommes.
Oui tu n'es victime que des faveurs des fées,
sol aurifère, noir, vert mais ton cœur ouais qu'en a tu fait
Je vois tes larmes, même loin dans ton sommeil
J'te sais assommée mais l'heure de ton éveil je sais que tu l'arme
Rebelle Dame, Belle que ces héros trépignent,
se perdent les âmes infidèles au fil de ces hautes épines.
Seul ton Prince, le Vrai, le temps d'un baiser,
t'initiera à une rébellion que nul ne sait apaiser
Refrain x2:
Réveilles-toi d'ce maléfice ma Rebelle,
Même quand de milliers de sacrifices te martèlent,
Relèves-toi en édifice immortel,
Ô ma Rebelle, Ô ma Rebelle, Ô ma Rebelle, Ô ma Rebelle
Stentor:
Toi l'Ebène Kamit, toi la Mère,
l'idylle vécu avec ceux qui t'habite, ma foi, le méritent-ils ?
Toi qui rayonne d'un sang silencieux si cynique
insensible à ces cris denses qui à sens unique s'élancent.
Toi qui dans ce rêve ne trouve réalité
Trouve un trève pour ceux qui crèvent et prouve qu'c'est une réllle idée.
Toi l'éternelle Rebelle au bois dormant,
Quand vivras-tu enfin heureuse auprès de tes enfants
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15. |
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Le regard vitreux, un pavé dans l'iris ces crises m'égarent,
cette vie de cadre miteux qu'on parfait dans les risques.
S'éffrite avec nos voeux qu'on voudrait toucher du doigt,
Qui tue l'droit, c'est l'industrie, elle veut qu'tu rendes tout c'que tu dois.
Celle qui fait en sorte qu'on parte lyncher nos soss
si y'a moyen pour conjurer le sort du bas d'léchelon social (Nah!)
Contraint d'fouler notre ardeur en soif,
conséquence ? Qu'est-ce que vous voulez, l'travail n'a plus de valeur en soi.
Pas d'recul, la vision des flux sidère,
le culte de la performance sous pression fabrique des suicidaires.
Il s'en sortiront ces chiens,
Plus blancs que neige sous l'couvert des Banques et leurs manèges, à la différences des tiens.
Va enterrer tes morts et reprends la file,
ici l'argent n'attends pas, il n'y a la morgue qu'on te félicite.
Les cris d'ces hommes qui n'feront pas ls grands titres,
il veulent taire, c'est donc ça le monde de candide de Voltaire ? Hein ?
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16. |
Joke Boxon Prod. Chess
05:14
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17. |
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Stentor:
Parce qu'on fait tomber les masques de l'intérieur,
on marche si près des tombes, en marge, très loin des rieurs.
Pointer l'inférieur masse au creux des tempes,
Là se crée un nouveau temple sur les dommages de l'antérieur.
Tout se résume à assumer des choix,
on l'a su mais assurément entre coups de massue et mouchoirs.
Ma survie est fille de c'que mes craintes savent:
la finalité d'un homme se compte en milliers de grains d'sables
Trop de regards que je vois filer de travers soit,
c'est moi ou soit chacun voudrait tirer le drap vers soi ?
J'm'aperçois qu'on a qu'un vrai rêve par vie,
j'm'abreuverais de soif jusqu'à ce que j'en verrais le parvis.
J'paves de bonne intentions mes enfers,
les frères en bavent, se dépravent grave dans l'sillon mais laissons faire
Nos travestissement, nous drapent de déguisement,
entravent l'avertissement, tu capte ? Laissons faire.
Combien côtoient l'extase à chaque battement de cils ?
Hostile, mon état, j'suis un esclave pas tellement docile.
J'en capte les moindres signes, trop d'handicaps, plein de si ?
Ben regarde, beaucoup s'écartent, partent loin d'ici.
Notre révolution est-elle télévisée ?
Qui parle de solution quand tel ou tel est visé ?
Brisé ou méprisé comme un chat de gouttière
Plissés, plein s'plaisent en plus à apprécier ce sale gout d'hier.
Le doute y est, on passe pour des dégénérés incompris.
Donc on prie de s'fédérer, s'serrer, sans vénérer nos nombril.
Moi ? pressé de faire rentrer les tunes du buzz ?
Rap de perché j'opère à la vision cendrée d'une lune gibbeuse.
Archer d'élite et lyriciste éclairé,
Arkanson, hard quand l'frappe et résiste en guerrier
Mon terrier, nouvelle génération poétique
en faction pour l'éthique
une politique de guerre yeah.
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18. |
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Moonwalker, j'atterris paré dans l'saloon
Salaud ou taré, j'apparais carré comme un boom au cœur.
Chérif dans l'espace Ouest,
Carrément j'n'ai pas l'temps pour les bagarres et pour les doux moqueur.
Mon verre de sky est vert fluo-extraterrestre
Tu testes tu die et je me fous de c'qui restera d'tes restes.
Gradé de toutes les étoiles de la galaxie,
si tu m'agaces, je mets à mal ton attaraxie
Fais l'bon, j'suis trop brut avec les truands
brulant ta pute, j'te bute avec des bombes puantes.
Demande à Vador, aux Siths et a Chewbacca
si monde des tueries j'adore, il t'dirons si j'suis pas cap
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19. |
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Refrain:
Trouble in my mind (scratches)
Tracé, marqué, tatoué sur le visage
balafre, mirages, chimères qui ont loupé virage
La vie une dessinatrice souvent myope ou astigmate
tu peux cacher tes cicatrices, t'effaceras pas tes stigmates
Stentor:
Pas fichu d'retourner sur mes pas, tourner la page je vis dans
un tour de passe passe où tout ne m'est pas évident.
Le vide me guide dans ses bras d'une énème étreinte,
m'embrase dès qu'il me quitte, passe autour d'mes bases s'effritant.
Vivant l'absence d'un père dans la souffrance mère
dévouée, j'voulais fouler dans l'sang ceux qui m'ont voué à la merde.
Haut comme 3 pomme avec des idée 16:9
J'me saigne des tonnes de livres mais des lignes sans cesse ne viennent.
Forcé de voir des divisions au pieds des disputes,
J'buttes à l'illusion de pierre que nos prière s ne disent plus.
La famille, rien n'marche plus quand naissent d'insultants
dommage, même les esprits connaissent l'usure du temps !
Chacun sa route ce n'est pas le temps des casse-tête,
et moi je cherche l'ainé que j'n'ai pas eu sur les bandes de mes cassettes.
Casquette de pharaon, un rêve de carte postale,
Marseille, loin d'ceux qui m'harcèlent et de mes parents.
Des parenthèses s'ouvrent, autant en emporte le vent,
L'important, je sais c'que vaut une fouff' face à l'aveu d'un pote
Portant les plaies profondes du silence réparateur,
J'me plais à perdre et fondre nos élans séparateurs
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20. |
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Stentor:
Yeah yeah yeah
Arkanson négro
C'est pour mes Guitons
M.A.S.T.A
J'n'aurais qu'une lettre, pour regretter ce qui m'enfume l'être
un funèbre et grand ressentiment qui n'aurait dû naitre
envers des traitres qui ne m'ont porté aucune aide.
Emporté, je me suis forgé une âme rancunière !
La trame de ce récit mériterait le blâme,
rien n'se calme plus quand on en vient à s'déchirer pour une femme.
L'infâme quête du bien durcit nos égoïsme
,et proclame l'appât du gain dans tous nos héroïsmes
Convaincu du fait qu'on ne peut pas s'aimer,
dans nos cœurs c'est champs d'ivraie qu'on ne cesse de parsemer.
De piètres milliard font des êtres ambitieux,
et le cercle familial devient un cercle vicieux
J'voudrais voir plus loin que tout ce monde,
qui tombe dans la routine au point de vivre un pied dans la tombe.
Dans l'attente d'un rêve à chaque coin de rue,
j'aborde une autre pente qui m'élève à chaque point de vue
yeah, premier croissant négro
La lune n'est mieux visible que la nuit tu sais
HipHop de l'Ouest mais dirigé vers l'Est en attendant l'Messie...
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21. |
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Au-dessus des lois, lois d'cons indécis
Essence rare, j'suis pas du bois qu'on scinde et scie
Mon art ne se déploit qu'au sein des six
Monarque lettre, Hiphop, cause we disciple
Enraciné dans l'axe de mes Roots,
mon accent repousse ou relaxe je trace mes routes
C'est l'accès où tout mes tacts se déroulent
Contracte ces rouges tracts impactés pour ceux qu'on taxe
Mais où sont mes lions de la forêt des abeilles
J'invoque la rébellion on verra si ça paye
Prions que les enceintes lâchent un bon street jingle
(What up Stent ?) Life is a concrete jungle
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22. |
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Stentor:
Ey to 17.08.1.9.6.0
des héros de la Nation dit-on ont libérés leur fils,
des êtres qui ont légiféré leurres, vices
du temps des colonies, bien qu'on le nie ces hommes ont-il serré leur vice ?
G.A.B.O.N dans l'cyclone des convoitises;
Terreau d'ébène prit dans des contrats qu'convois tissent.
Eden aux romances affreuses qu'on dit PDGistes,
au nom d'la France généreuse et non de celle gaulliste et vichiste.
Du monopartisme aux démocraties parodiques,
une famille de père en fils en pleine autarcie l'Barreau dicte.
Les urnes comme menottées, K.O.
Notez qu'une communauté internationale quelque part audite
des élections montées, truquées de toutes pièces,
avec la bénédiction de l'UMP et sans doute le PS.
Vivent les réseaux Foccart aux gants de Bourgi,
quand sous les Champs la France-Afrique souffle 50 bougies
,
en toute impunités, d'arrêts publiques et mal être
brisant notre unité au nom d'la République des malettes
C'est pas net, un président qui à l'évidence, sur la gestion dl'a finance
hum...parait pudique aux manettes.
Mais vois-tu la télé nous gave de storytelling,
s'attelle à marteler nos têtes pour calmer listes d'horribles délits.
Proclame un historique, infâme que la masse nique
Et noie toute une jeunesse à rejoindre les flammes des ordres maçonniques
Opposants éparpillés, corrompus par les billets
comment veux-tu qu'on parle d'un libéralisme économique de papier.
Lassé de brefs capitaines ?
Demande à Eva Joly ce qu'est devenu l'affaire Elf-Aquitaine.
Nos chefs acquittés car ils ne volerait,
ni un œuf, ni un bœuf, selon l'œuvre de Bouygues et Bolloré.
Que puis-je te dire à part que quelqu'un d'autre sait,
toutes ces manigances orchestrées par le Quai-d'Orssay.
Refrainx2:
Comment se combat, une armée qui ne se compte pas ?
comprends qu'ici bas, c'est d'en haut que vient la stonba !
Ne compte pas sur le compas pour trouver les pages arrachées
Nos phases lâchées sur leur Face cachée.
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23. |
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Check, frérot j'suis flex, presque sans raisons d'quitter mon divan,
j'le dis, franc, jsuis vex j'ai plus qu'mes textes de motivant
Le typhon se dresse, me dresse les tiffes,
Pour la diff' t'as l'Sheitan avec ses chèques qui ses motifs vend.
J'ai comme les mains clouées à une croix divine,
un film, tu vois? , les poches trouées par le poids du vide,
fil rouge : j'voulais tout baiser, me bourrer le compte,
mais là je louche à force de peser le pour et le contre.
Y'a pas d'ombre sans lumière, tu l'sais mon soss
J'bosse, essuies la merde de mon sort,'
Donc j'suis scotché sur c'que l'office-box annonces
Youss, à mes côtés kickant sur une prod à Noxious.
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24. |
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Stentor:
Mission: me hisser dans l'espace. Iris dans les spasmes
Je dis ce qu'il se passe, surpasse et vise ce qui n'est pas soumission.
Refrain:
Hey yo ça vient de A.P.O.L.L.O 16
Mission lunaire de pros qui t'interpellent bro
c'est bien ce qu'il te fajut pour quitter terre (terre) gros
Sais-tu d'où vient cet air gros ?
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25. |
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Stentor
Ni d'ici ni d'ailleurs, nos vertus seraient de taille,
Nos failles et nos valeurs nous tuent sur un détails:
Le vice, taillé sur la pierre de nos interdit.
Une faillite, vise le fight que notre terre deal aight.
Une vie de doutes, faites de trop d'philosophies
Va sur Facebook, voir à quels profils on se fie.
Au fond, si peu d'espoirs, trop de guigne officiel,
On fait le mal en attendant de voir un signe du ciel
Regarde combien la gloire nous regarde de travers
Chacun de son côté dans le noir veut tirer le drap vers
Réduit à chercher de l'or, même au creux des cavernes
Perché, dès l'or, j'pourrais m'appeler Jules mais pas Verne
yeah Y'a que l'enfer pour lâcher des solutions
Qu'est-ce tu peux frère, c'est le marché des illusions
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LaCourDesMiracles Libreville, Gabon
La Cour des Miracles est un label de musique HipHop indépendant qui promeut des artistes et des sonorités underground
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